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Notice d'autorité

Montréal (Québec). Comité de défense civile

  • P093-A
  • Collectivité
  • 1939-1945

Le Comité de protection civile (C.P.C), ensuite connu sous le nom de Comité de défense civile, est constitué à l'automne 1939 par le Service de la police de Montréal. Le mandat de cet organisme est de préparer la Ville à d'éventuels raids aériens ou actes de sabotage. On vise ainsi à reproduire le modèle des milices bénévoles mises en place en Angleterre, pour défendre le territoire. Le nouveau C.P.C. central du Canada est dirigé par le docteur Robert Manion.

Le gouvernement fédéral enjoint par ailleurs les provinces de se doter d'un C.P.C. provincial, afin de simplifier les liens à venir entre les villes et l'organisme central de niveau fédéral. Au Québec, Marcel Gaboury devient directeur de ce C.P.C. provincial. Les grandes villes sont enfin elles-mêmes amenées à mettre sur pied des C.P.C. locaux. À Montréal, le directeur des services municipaux, Honoré Parent, est nommé directeur du C.P.C. créé. Le maire Raynault a préalablement refusé ce poste, du fait du grand nombre de tâches déjà assumées.

Cet organisme municipal est divisé en grandes unités, afin d'en faciliter le fonctionnement. Le docteur Adélard Groulx s'occupe des services médicaux, Fernand Dufresne de la police, Raymond Paré du service auxiliaire de lutte contre les incendies, Henri Gibeau du service de maintien des services essentiels et D.R. McCuaig de la police auxiliaire (la Colonne mobile).

Le C.P.R. devient le Comité de défense civile le 9 mars 1944. En mai de la même année, le Comité exécutif discontinue l'octroi de fonds à la défense civile. En 1945, le gouvernement fédéral dissout l'organisation de la défense civile.

Montréal (Québec). Commission du logement salubre

  • VM169-A
  • Collectivité
  • 1934-1938

La Commission du logement salubre est créée le 14 mai 1934 par une résolution du Conseil de ville. Elle dépose sont rapport le 12 juillet 1934. La Commission est créée de nouveau le 22 décembre 1937 par le Conseil de ville. Elle met fin à ses travaux lors du dépôt de son rapport le 11 mai 1938.

En 1934, le mandat de la Commission du logement salubre est d'étudier le projet élaboré par le Comité du logement salubre ainsi que le plan financier qui y est rattaché, et de modifier, s'il y a lieu, le projet et le plan pour les rendre acceptables par les gouvernements intéressés et de soumettre au Conseil, avant la prochaine session de la Législature provinciale, un rapport indiquant les conclusions auxquelles elle en sera arrivée et les moyens à prendre pour la réalisation du projet en question (Procès-verbal du Conseil de ville, 14 mai 1934). En 1937, le mandat de la Commission est d'étudier la mise à exécution d'un plan de logements salubres (Procès-verbal du Conseil de ville, 22 décembre 1937). En 1934, la Commission est composée de huit conseillers municipaux, de l'ingénieur de la Ville, d'un membre du contentieux municipal, de l'auditeur de la Ville, du surintendant du département municipal de la salubrité et de trois membres du Comité du logement salubre. En 1937, elle est composée de neuf membres dont quatre conseillers municipaux.

Montréal (Québec). Service du Bien-être social

  • VM172-A
  • Collectivité
  • 1941-1972

Le Service du Bien-être social est créé le 13 mai 1941 suite à l'adoption du règlement 1683. Ce service est constitué pour faire suite aux activités de la Commission de chômage qui avait été mise sur pied pour contrer les effets de la crise économique entre 1929 et 1939. Le service cesse ses fonctions après l'adoption du règlement 4411, le 21 avril 1972, dans la foulée de l'adoption de la Loi sur l'aide sociale du Gouvernement du Québec en 1969. Ce règlement fusionne ce service avec le Service de santé pour créer une nouvelle entité, le Service des affaires sociales.

Le mandat du Service du Bien-être social est en premier lieu de veiller à l'application du règlement 1447, adopté le 12 avril 1937, lequel régit les collectes publiques, les autres collectes pour des fins charitables et la mendicité à Montréal. En outre, plusieurs autres fonctions sont attribuées à ce service. Ainsi, celui-ci doit faire des recommandations relatives aux subventions accordées aux organisations charitables de bien-être et aux hôpitaux. Il veille à l'exécution des contrats entre la Ville et les institutions de charité, d'hospitalisation ou de bien-être social ainsi qu'à l'application des lois provinciales relatives aux écoles de délinquants, aux écoles de réforme, aux asiles d'aliénés, aux crèches et à tout ce qui regarde l'assistance publique. Il doit également s'occuper de l'enterrement des pauvres et des inconnus, de la déportation des immigrés, du rapatriement des étrangers, de l'hospitalisation des indigents, des contagieux et des personnes souffrant de maladies mentales et du renvoi des indigents à l'endroit où ils résident dans les limites du Dominion. Il a aussi comme mandat l'aide aux vieillards, aux aveugles et aux mères nécessiteuses et doit déterminer les règles nécessaires au fonctionnement de son service et à la juste distribution des allocations de chômage ainsi que veiller à l'organisation et à la bonne gestion des bureaux de placement et des centres de distribution de ces allocations de chômage et de secours aux indigents. Il recense par ailleurs les aptitudes des personnes secourues afin de hâter leur retour au travail et s'employer à faire travailler ces personnes à des conditions raisonnables et à des taux réguliers, en collaboration avec le Service des travaux publics. Il collabore enfin avec toute personne ou société qui s'occupe d'aider le pauvre, le malade et le sans abri sans oublier les conseils qu'il doit prodiguer aux autorités municipales sur les mesures à prendre pour coordonner les efforts des personnes ou des organisations qui s'occupent du secours à autrui et pour établir un plan d'ensemble.

Sous la gouverne de son directeur qui relève du Comité exécutif, le Service du Bien-être social est constitué à sa création de cinq divisions : chômage, assistance municipale, Refuge Meurling, carte d'identité et photographie. Tout autre bureau ou division que le Comité exécutif voudrait bien lui adjoindre devra également être géré par le dit Service.

Montréal (Québec). Commission sur la révision des procédures de participation et de consultation publiques

  • VM167-A
  • Collectivité
  • 1995

La Commission sur la révision des procédures de participation et de consultation publiques est créée le 30 janvier 1995 en vertu de l'article 180 de la Charte de la ville de Montréal. Elle met fin à ses travaux lors du dépôt de son rapport le 15 mai 1995.

Le mandat de la Commission est de procéder à la révision des procédures de participation et de consultation publiques (résolution CO95 00244). L'énoncé d'orientations en matière de participation et de consultation publiques de la Ville de Montréal sert de base de discussion pour la Commission. La Commission tient une assemblée d'information ainsi que des audiences publiques sur la question. Par la suite, elle formule des recommandations et produit un rapport déposé au Conseil municipal. La Commission est composée de neuf élus municipaux.

Montréal (Québec). Comité aviseur sur les relations interculturelles de Montréal

  • VM164-A
  • Collectivité
  • 1990-

Le Comité aviseur sur les relations interculturelles de Montréal est créé le 17 janvier 1990 par la résolution CE90 00293 adoptée par le Comité exécutif de la Ville de Montréal. Lors de sa création, le Comité a pour dénomination Comité consultatif sur les relations interculturelles et interraciales de Montréal (CCRIIM). Il change de nom pour Comité aviseur sur les relations interculturelles de Montréal (CARIM) le 13 septembre 1995 en vertu de la résolution CE95 02120 adoptée par le Comité exécutif.

Le mandat du Comité aviseur sur les relations interculturelles de Montréal est de fournir au maire l'information concernant la qualité et l'efficacité des services municipaux; de consolider les liens entre les autorités municipales et les milieux ethnoculturels; de proposer au maire des stratégies et des actions pour promouvoir l'harmonie sociale et améliorer les relations interculturelles et interraciales sur le territoire de la Ville de Montréal; de conseiller le maire sur les politiques municipales à mettre en oeuvre afin de favoriser l'intégration et la participation des membres des communautés culturelles à la vie politique, économique, sociale et culturelle de Montréal; de renseigner le maire sur toute autre question qui appelle l'attention ou l'action des autorités municipales (Rapport annuel 1998-1999). Le 31 mai 1995, en vertu de la résolution CE95 01216 adoptée par le Comité exécutif, la responsabilité du Comité est transférée du Comité exécutif au maire de la Ville. Le Comité est composé de 15 membres, nommés pour deux ans par le maire sur recommandation d'un comité de sélection indépendant.

Montréal (Québec). Commission sur la refonte de la Charte de la Ville de Montréal

  • VM163-A
  • Collectivité
  • 1997-1998

La Commission sur la refonte de la Charte de la Ville de Montréal est créée le 27 octobre 1997 en vertu de l'article 180 de la Charte de la Ville de Montréal. Sa création découle de la révision par le Gouvernement du Québec du cadre législatif ou de l'ensemble des lois régissant les municipalités du Québec. L'administration municipale de la Ville de Montréal décide en mai 1997 d'effectuer une refonte de sa charte. La Commission met fin à ses travaux lors du dépôt de son rapport le 14 septembre 1998.

Le mandat de la Commission est l'étude publique du rapport du comité de travail portant sur la refonte de la Charte de la Ville de Montréal préparé pour le Comité exécutif en octobre 1997 et la tenue d'une consultation publique auprès des Montréalais et Montréalaises afin de connaître le type d'institution politique désirée par les citoyens ainsi que la portée en termes de pouvoir et de degré d'autonomie qu'ils souhaitent pour leur ville (résolution CO97 02179). La Commission tient des assemblées d'information ainsi que des audiences publiques sur la question. Par la suite, elle formule des recommandations et produit un rapport déposé au Conseil municipal. La Commission est composée de sept élus municipaux.

Nolin, Jean

  • BM020-A
  • Personne
  • 1898-1960

Jean Nolin est né en 1898 à Sorel (Québec). Il est aussi connu sous le pseudonyme d'André Duquette. Il étudie au Collège Sainte-Marie (baccalauréat ès arts, 1918) et à l'École des Hautes Études Commerciales (licence, 1920).
Jean Nolin est poète, critique de théâtre et journaliste. Il est d'abord secrétaire particulier de G.-Z. Simard, président de la Commission des liqueurs. Puis, il devient représentant, à Paris, de cette Commission. À la même époque, il publie, sous le pseudonyme d'André Duquette, des articles dans la revue La Muse française. De retour à Montréal en 1927, il est critique de théâtre puis directeur de la publicité pour le journal La Patrie. Plus tard, il est chargé de l'information radiophonique à l'Hôtel Windsor où se situent les bureaux du poste Marconi. Ensuite, il travaille à la section des nouvelles du poste CKAC. Au début de la Seconde guerre mondiale, il est conseiller en publicité et représentant de la maison Didot-Bottin. Dans les années 1930, il est invité, par Olivar Asselin, à prendre la direction de la publicité du journal Le Canada. Puis, au début des années 1960, il travaille au service de la maison Larousse. Parmi ses publications, notons le recueil de poèmes Les Cailloux publié en 1919 et quelques poèmes parus, entre autres, dans L'Action catholique et La Revue moderne. Jean Nolin est admis, en 1921, à l'École littéraire de Montréal.
Source : Hamel, Réginald, [et al.]. Dictionnaire des auteurs de langue française en Amérique du Nord, Montréal : Fides, 1989, p. 1032.

Walklate, Mary E.

  • BM010-A
  • Personne
  • [19-]

Mary E. Walklate vit à Derby, ville de Grande-Bretagne, probablement sous le règne de la reine Victoria.

Tassé, Henriette

  • BM009-A
  • Personne
  • 1870-1964

Henriette Tassé est née le 23 septembre 1870 à Québec sous le nom de Henriette Lionais. Fille de Charles Lionais et d'Émilie Berthelot, elle fait ses études au couvent d'Hochelaga des Soeurs des Saints-Noms-de-Jésus-et-de-Marie à Montréal. Elle épouse Gustave Tassé le 5 juillet 1892 et ils ont trois enfants. Elle meurt en 1964.

Henriette Tassé est écrivaine, journaliste et conférencière. Elle publie en 1915 son premier volume intitulé La vie et le rêve, ainsi que plusieurs autres titres dont De tout un peu (1923), La femme et la civilisation (1927), Les salons français (1930) et La vie humoristique d'Hector Berthelot (1934). À partir de 1916, ses articles sont publiés dans différents journaux et revues sous son nom de même que sous divers pseudonymes tels que Mistigri ou Une progressiste. Elle est aussi membre de l'exécutif du Club libéral central des femmes de Montréal et secrétaire du Comité provincial du suffrage féminin.

Historique de la conservation :
Le fonds a été remis à la Bibliothèque de Montréal par Henriette Tassé après 1961. Il a été transféré à la Division de la gestion de documents et des archives en juin 1997.

Portée et contenu :
Le fonds porte principalement sur des articles de Henriette Tassé, ou la concernant, publiés dans différents journaux entre 1916 et 1961 ainsi que sur sa vie personnelle entre 1929 et 1945.
Le fonds contient un spicilège et un journal personnel, Expériences psychiques 1er cahier, qui relate sa vie en relation avec les prédictions que lui ont fait des clairvoyants.

De Sève, Alfred

  • BM006-A
  • Personne
  • 1858-1927

Alfred De Sève est né à Saint-Henri (Montréal) en mai (ou juin) 1858. Il est le fils d'Alexandre De Sève, avocat, et de dame Lenoir Rolland. Il étudie au Collège de Montréal, puis au Collège Sainte-Marie. Il épouse Joséphine Bruneau, pianiste, en 1880. Il meurt le 25 novembre 1927 à Montréal.

Alfred De Sève est violoniste, professeur et compositeur. Il étudie le violon avec Oscar Martel, puis avec Frantz Johin Prume. En 1876, il part pour Paris où il prend des leçons avec Sarasate, Hubert Léonard, Lambert Massart et Henri Vieuxtemps. Il étudie avec ce dernier pendant trois ans et amorce, parallèlement, une carrière parisienne sous la protection de la reine d'Espagne, Isabelle II, qui le nomme, en 1878, violoniste de Sa Majesté. Puis, de retour à Montréal en 1879, il donne plusieurs concerts dans les principales villes du Canada. En 1881, il quitte Montréal pour s'établir à Boston où il poursuit d'abord sa carrière comme professeur au New England Conservatory puis, en 1891, il succède à Calixa Lavallée comme directeur musical à la cathédrale Holy Cross. De Sève est violon solo pour l'orchestre philharmonique de Boston et membre de l'Orchestre Symphonique de Boston. Il effectue aussi de nombreuses tournées aux États-Unis comme membre du Boston Symphony Orchestral Club. Il est de retour à Montréal en 1899 où il enseigne le violon en cours privés et au McGill Conservatorium of Music. Au cours de sa carrière, De Sève écrit quelques œuvres pour piano seul et pour orchestre publiées chez Ditson et Arthur P. Schmidt. Source : Girard, Charles. « De Sève, Alfred ». Encyclopédie de la musique au Canada, Tome I : A-F. Montréal : Fides, 1993. p. 893.

Pelletier, Virginie

  • BM003-A
  • Personne
  • 1894-1969

Virginie Pelletier est née le 25 novembre 1894 à Rivière-du-Loup. Elle est la fille de Narcisse Pelletier et de Caroline Vézina. Elle fait des études à l'École des bibliothécaires au début des années 1940. Elle meurt le 13 janvier 1969.

Virginie Pelletier est bibliothécaire. Elle débute sa carrière comme aide-bibliothécaire à la Bibliothèque municipale de Montréal en août 1937. Bibliothécaire en 1950, elle prend sa retraite de la Ville de Montréal en 1964. Dans le cadre de ses études à l'École des bibliothécaires, elle réalise la « Bio-bibliographie de Monsieur Georges Pelletier, avocat, journaliste, directeur du Devoir » en 1942.

Daveluy, Marie-Claire

  • BM004-A
  • Personne
  • 1880-1968

Marie-Claire Daveluy est née à Montréal en 1880. Elle est la fille de Georges Daveluy et de Marie Lesieur Desaulniers. Elle étudie au couvent d'Hochelaga et à l'Université McGill (diplôme en bibliothéconomie, 1920). Elle meurt le 21 janvier 1968.

Marie-Claire Daveluy est bibliothécaire, historienne et écrivaine pour la jeunesse. Elle entre au service de la Bibliothèque de Montréal en 1917 où elle occupe les postes de bibliothécaire adjoint (1920-1943) et de chef de catalogue (1930-1941). En 1937, elle fonde, avec Aegidius Fauteux, l'École de bibliothécaires de l'Université de Montréal, où elle est directrice adjointe et professeur pendant plusieurs années. Elle contribue aussi à la fondation de l'Association canadienne des bibliothécaires de langue française (1943). De 1943 à 1948, elle anime des sketches historiques hebdomadaires pour Radio-Canada. Ses écrits littéraires et historiques paraissent dans plusieurs périodiques comme La Bonne Parole, L'Action Française, L'Oiseau bleu et La Revue d'histoire de l'Amérique française. Elle remporte le prix David en 1924 pour le roman historique Aventures de Perrine et Charlot et le prix de l'Académie française ainsi qu'un autre prix David en 1934 pour Jeanne-Mance, 1606-1673. Ses romans pour la jeunesse associent la petite histoire canadienne-française à la fiction romanesque. Parmi ses contes de fées, mentionnons Le Filleul du roi Grolo, Sur les ailes de l'oiseau bleu et Une révolte au pays des fées. Marie-Claire Daveluy est membre de la Société historique de Montréal, de l'Académie canadienne-française et membre d'honneur du bureau de direction de la Fédération nationale de la Saint-Jean-Baptiste.

Montréal (Québec). Service des permis et inspections

  • VM112-A
  • Collectivité
  • 1961-1999

Le Service des permis et inspections est créé en 1994 en vertu du règlement 94-156 adopté le 12 décembre 1994 par le Conseil de ville. L'histoire de ce service débute avec la création du Service des permis et inspections en 1961. Le Service est aboli en 1987 et ses mandats sont alors confiés au Service de l'habitation et du développement urbain. En 1994, le Service des permis et inspections est créé par le Conseil de ville à la suite de la réorganisation administrative entreprise par l'administration de Vision Montréal.
Le 8 mars 1999, en vertu du règlement 99-042, le Conseil de ville fusionne le Service des permis et inspections, le Service du développement économique et le Service de l'urbanisme sous le nom de Service du développement économique et urbain.

Le mandat du Service des permis et inspections est d'étudier les demandes de permis et de délivrer les permis ainsi que d'effectuer des inspections aux fins de l'application des règlements municipaux (règlement 94-156). En 1999, le Service est constitué de la Direction du service, de la Division du soutien à la gestion, de la Division de l'accueil, du service à la clientèle et du règlement des dossiers de cour, de la Division du développement des systèmes, de la Division de l'expertise technique et du développement réglementaire et de la Division de la surveillance des régions.

Montréal (Québec). Commission de l'administration et des services aux citoyens

  • VM161-A
  • Collectivité
  • 1995-

La Commission de l'administration et des services aux citoyens est créée le 20 novembre 1995 en vertu du règlement 95-238 créant de nouvelles commissions permanentes du Conseil à la suite de la réorganisation entreprise par l'administration de Vision Montréal. Elle est issue de la Commission de l'administration et de la qualité des services créée en 1990 en vertu du règlement 8712.

Le mandat de la Commission de l'administration et des services aux citoyens est d'étudier toute question relevant de sa compétence et de déposer au Conseil de ville un rapport contenant ses recommandations. Elle étudie les sujets inscrits à son programme d'activité, qui est approuvé au préalable par le Conseil. De plus, elle procède à l'étude des prévisions budgétaires des services municipaux et des sociétés paramunicipales ainsi qu'à l'étude du rapport du vérificateur de la Ville. En cours d'année, le Conseil peut lui confier des mandats (règlement 95-238). En 2001, la Commission est composée de 9 membres issus du Conseil de ville dont le maire qui est membre d'office.

Montréal (Québec). Commission des finances et du développement économique

  • VM160-A
  • Collectivité
  • 1995-

La Commission des finances et du développement économique est créée le 20 novembre 1995 en vertu du règlement 95-238 créant de nouvelles commissions permanentes du Conseil à la suite de la réorganisation entreprise par l'administration de Vision Montréal. Elle est issue de la Commission de l'administration et de la qualité des services et de la Commission du développement économique, créées en 1990 en vertu du règlement 8712.

Le mandat de la Commission des finances et du développement économique est d'étudier toute question relevant de sa compétence et de déposer au Conseil de ville un rapport contenant ses recommandations. Elle étudie les sujets inscrits à son programme d'activité, qui est approuvé au préalable par le Conseil. De plus, elle procède à l'étude des prévisions budgétaires des services municipaux et des sociétés paramunicipales ainsi qu'à l'étude du rapport du vérificateur de la Ville. En cours d'année, le Conseil peut lui confier des mandats (règlement 95-238). En 2001, la Commission est composée de 9 membres issus du Conseil de ville dont le maire qui est membre d'office.

Montréal (Québec). Médiateur de Montréal

  • VM157-A
  • Collectivité
  • 1994-

Le Médiateur de Montréal est créé en 1994 en vertu de la résolution CO94 02286 adoptée le 17 novembre 1994 par le Conseil de ville.

Le mandat du Médiateur de Montréal est de défendre les citoyens de Montréal contre toute décision administrative jugée arbitraire. Après avoir reçu un dossier et s'être assuré de sa pertinence, le Médiateur procède à une enquête complète en obtenant les renseignements nécessaires auprès des parties concernées. S'il est prouvé que le citoyen a effectivement été lésé, le Médiateur tente de négocier une solution acceptable avec le service en question. En cas d'échec, il peut transmettre sa recommandation au Comité exécutif qui doit alors trancher. Le Médiateur est un conseiller municipal nommé par le maire pour un mandat de quatre ans. Il est secondé par un adjoint, un conseiller juridique et un secrétaire.

Montréal (Québec). Service de la propreté

  • VM156-A
  • Collectivité
  • 1994-1998

Le Service de la propreté est créé en 1994 en vertu du règlement 94-156 adopté le 12 décembre 1994 par le Conseil de ville. Les questions relatives à la propreté de la ville relevaient auparavant du Service des travaux publics. Le 23 mars 1998, le Conseil de ville adopte le règlement 98-052 qui regroupe le Service de la propreté, le Service des travaux publics et le Service de la circulation et du transport sous le nom de Service des travaux publics et de l'environnement.

Le mandat du Service de la propreté est de gérer la collecte, le traitement et la valorisation des déchets et des matières recyclables, de gérer les infrastructures de traitement et de la valorisation des déchets et des matières recyclables, de gérer les opérations de nettoiement, d'assurer le contrôle de la propreté sur les domaines public et privé ainsi que de contribuer à l'avancement et la diffusion des connaissances en matière d'environnement et de développement durable. En 1998, le Service est constitué de la Direction du service, de la Division du soutien à la gestion, de la Division de l'ingénierie environnementale, de la Division de la planification environnementale et des communications, du Complexe environnemental de Saint-Michel et des Régions administratives.

Montréal (Québec). Service de la circulation

  • VM155-A
  • Collectivité
  • 1955-1987

Le Service de la circulation est créé en 1955 en vertu du règlement 2244 adopté le 3 juin 1955 par le Conseil de ville. Sa création découle des conclusions d'une étude sur le problème du stationnement à Montréal. Le Service est aboli le 31 mars 1987 en vertu du règlement 7301 sur la réorganisation municipale entreprise par l'administration du Rassemblement des citoyens et citoyennes de Montréal (RCM). Les mandats du Service sont alors transférés au Service des travaux publics.

Le mandat du Service de la circulation est de s'occuper de la circulation, du stationnement et des problèmes connexes de sécurité et de signalisation. Son mandat est modifié le 15 septembre 1986 en vertu du règlement 7132 qui transfert les questions relatives au stationnement au Service de l'approvisionnement. En 1986, le service est constitué de la Direction du service, de la Division de la circulation, de la Division de la planification des projets à moyen et long termes et de la Division de l'administration.

Montréal (Québec). Conseils de quartiers

  • VM154-S1-A
  • Collectivité
  • 1995-

Les Conseils de quartiers sont créés en vertu du règlement 95-205 (adopté le 19 octobre 1995) en remplacement des Comités-Conseils d'arrondissements (créés pour leur part en 1988, en vertu du règlement 7988, et abolis en 1994, en vertu du règlement 94-135, voir VM 106). La création de ces conseils se fait à la suite d'une réorganisation entreprise par l'administration de Vision Montréal sous la chefferie de Pierre Bourque. Le nombre initial de 16 conseils - soit 1) Cartierville; 2) Ahuntsic; 3) Saint-Michel; 4) Villeray-Parc-Extension; 5) Petite-Patrie; 6) Rosemont; 7) Nouveau-Rosemont; 8) Hochelaga-Maisonneuve; 9) Mercier; 10) Plateau Mont-Royal; 11) Ville-Marie; 12) Côte-des-Neiges; 13) Notre-Dame-de-Grâce; 14) Sud-Ouest; 15) Rivière-des-Prairies; 16) Pointe-aux-Trembles - passe à 17 en 2001 avec l'établissement de Parc-Extension en quartier distinct.

Selon leur règlement constitutif, les Conseils de quartiers ont pour mandat " l'étude publique des objets soumis par le comité exécutif conformément à l'article 110.9 de la charte". Ils doivent émettre auprès de ce dernier des recommandations quant aux priorités d'action à ces égards et aux problématiques liées à leur quartier respectif.

Montréal (Québec). Service des relations avec les citoyens

  • VM154-A
  • Collectivité
  • 1995-

Le Service des relations avec les citoyens est créé en 1995 en vertu du règlement 95-152 adopté le 7 août 1995 par le Conseil de ville. Le Service reprend une partie des mandats du Service des affaires institutionnelles aboli au même moment.

Le mandat du Service des relations avec les citoyens est de fournir aux citoyens de l'information et une assistance technique dans leurs relations avec l'administration municipale ainsi que de fournir aux conseils de quartier et à la Commission du développement urbain de Montréal un soutien dans la préparation et la tenue de leurs assemblées (règlement S-0.1). En 2001, le Service est constitué de la Direction du service, de la Division des services en ligne, de la Division de l'expertise et du soutien, de la Division de la participation et consultation publiques, de la Division des bureaux Accès Montréal et de la Division Accès Montréal première ligne.

Montréal (Québec). Comité formé pour faire l'étude des amendements qui pourraient être apportés au règlement no 695

  • VM153-A
  • Collectivité
  • 1955-1956

Le Comité formé pour faire l'étude des amendements qui pourraient être apportés au règlement no 695 est créé le 6 septembre 1955 par une résolution du Conseil de ville de Montréal.

Le mandat du Comité est d'étudier les amendements au règlement no 695 concernant les heures de fermeture des magasins. Le Comité est composé de 15 membres: 5 conseillers provenant de chacune des catégories du Conseil.

Montréal (Québec). Directeur des services

  • VM152-A
  • Collectivité
  • 1921-1965

Le Directeur des services est créé le 19 mars 1921 par l'adoption de la Loi modifiant la Charte de la Cité de Montréal (Statuts de la province de Québec, 1921, II George V, chap. 112, art. 327). La création du poste de Directeur des services découle de la réforme administrative de 1921. Le 15 juillet 1965, le Directeur des services change de nom pour Secrétaire administratif à la suite d'un amendement à la Charte de la Ville (Loi 8-9 Élisabeth II, chap. 102). Le poste de Directeur des services est aboli le 1er octobre 1965 en vertu du règlement 3176 adopté par le Conseil de ville qui crée au même moment le Secrétariat administratif.

Le Directeur des services remplit tous les devoirs qui lui sont assignés par le Comité exécutif. Toutes les communications entre le Comité exécutif et les différents services municipaux se font par son entremise. Il assiste à toutes les séances du Comité exécutif et a droit de prendre part aux délibérations, mais il ne peut y voter. Le Directeur des services est nommé à la majorité absolue par le Conseil de ville. En 1964, l'Imprimeur de la Ville, l'Office d'initiative économique et l'Office municipal du tourisme sont sous sa juridiction immédiate.

Montréal (Québec). Bibliothèques des jeunes

  • BM060-S6-A
  • Collectivité
  • 1941-

La première bibliothèque pour enfants de la Ville de Montréal, en l'occurrence la Salle des enfants de la Bibliothèque municipale sur la rue Montcalm, est inaugurée le 18 novembre 1941. Elle offre aux abonnés des séances de cinéma, des causeries ainsi que l'activité 'Heure du conte'. La Ville de Montréal ouvrira subséquemment les succursales Shamrock (août 1947), Sainte-Cunégonde (20 novembre 1947), De Lorimier (30 mai 1949), Rosemont (23 juillet 1951), Ahuntsic (8 janvier 1953), Benny (6 avril 1956) et Gatineau (11 mars 1957).

Montréal (Québec). Service des parcs, jardins et espaces verts

  • VM151-A
  • Collectivité
  • 1994-[2002?]

Le Service des parcs, jardins et espaces verts est créé en 1994 en vertu du règlement 94-156 adopté le 12 décembre 1994 par le Conseil de ville. L'histoire de ce service débute avec la création du Service des parcs en 1953. En 1979, la responsabilité des parcs est partagée entre le Service de l'habitation et du développement urbain, le Service de l'approvisionnement et des immeubles, le Service des loisirs et du développement communautaire et le Service des travaux publics. Le Conseil de ville décide en 1993 de regrouper les mandats relatifs aux parcs et espaces verts sous un seul service en créant le Service des loisirs, des parcs et du développement communautaire. Le Service des parcs, jardins et espaces verts est issu du Service des loisirs, des parcs et du développement communautaire dont les volets loisir et sécurité du revenu sont devenus autonomes.

Le mandat du Service des parcs, jardins et espaces verts est de planifier et concevoir l'aménagement des parcs, des jardins, des espaces verts, des places publiques, des rives et des boisés, de les aménager et de les entretenir, d'offrir à la population des collections, des activités et des événements lui permettant de se familiariser avec les sciences naturelles, de contribuer à l'avancement et à la diffusion des connaissances en horticulture, en architecture du paysage et en génie biologique, dans une optique de développement durable, et de gérer les équipements scientifiques tels le Jardin botanique, l'Insectarium, le Planétarium et le Biodôme (règlement 94-156). Le mandat du Service est modifié le 23 octobre 2000, en vertu du règlement 00-191 créant le Service des équipements techniques qui gère dorénavant le Jardin botanique, l'Insectarium, le Planétarium et le Biodôme. En 2001, le Service des parcs, jardins et espaces verts est constitué de la Direction, du Soutien à la gestion, de la Gestion des parcs, de l'Aménagement des parcs, et de l'Horticulture et entretien des parcs.

Montréal (Québec). Service des sports et loisirs

  • VM148-A
  • Collectivité
  • 1971-1987

Le Service des sports et loisirs est créé en 1971 en vertu du règlement 4262 adopté le 17 mai 1971 par le Conseil de ville. L'histoire de ce service débute avec la création du Service des parcs en 1953 qui comprend une division de la récréation. En 1971, celle-ci devient alors le Service des sports et loisirs. Il devient le Service des loisirs et du développement communautaire en vertu du règlement 7301 adopté le 31 mars 1987.

Le mandat du Service des sports et loisirs est la coordination et l'exécution des politiques de la Ville en matières sportives, récréatives, culturelles ou autres relatives aux loisirs. Il rend accessible aux citoyens les divers équipements et installations de la Ville et met en oeuvre des programmes d'activités à caractère sportif, récréatif et socio-culturel dans les arénas, les piscines, les centres et terrains sportifs, et les centres communautaires et culturels. Il organise diverses manifestations, encourage la concertation et se tient en relation constante avec ses partenaires du milieu scolaire ou privé. Il est chargé d'administrer les cafétérias et casse-croûte situés dans les locaux de la Ville. Il est également responsable de l'administration (sauf l'entretien) des bibliothèques municipales, du Planétarium, de l'Aquarium et du Jardin zoologique jusqu'en 1979, année où ces responsabilités sont transférées au Service des activités culturelles. En 1986, le Service des sports et loisirs est constitué de la Direction du service, de la Division de l'administration, de la Division des activités ainsi que de la Division de l'expertise et soutien.

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