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Notice d'autorité

Montréal (Québec). Commission d'étude des problèmes métropolitains de Montréal

  • VM016-A
  • Collectivité
  • 952-1955

La Commission d'étude des problèmes métropolitains de Montréal est créée le 10 novembre 1952 en vertu du règlement 2079 adopté par le Conseil municipal. Le Gouvernement provincial adopte, le 23 janvier 1952, la Loi modifiant la charte de la Cité de Montréal (Status de la province de Québec, 1951-1952, 15-16 George VI, chapitre 65, article 9) permettant la création de cette commission. La Commission est également connue sous le nom de Commission Paquette, empruntant l'identification de son président, Roland Paquette, juge en chef de la Cour municipale de Montréal. La Commission cesse des activités en janvier 1955, au moment du dépôt de son rapport final.
Le mandat de la Commission d'étude des problèmes métropolitains de Montréal est d'étudier les problèmes administratifs résultant de l'existence, sur l'île de Montréal, de plusieurs cités, villes ou autres corporations municipales, voisines ou contiguës, dont certaines sont enclavées dans le territoire de la Cité de Montréal. La Commission est composée de 21 membres répartis comme suit: 15 membres du Conseil de la Cité de Montréal, nommé par celui-ci; un membre de chacun des conseils de villes de Westmount, Outremont, Lachine et Verdun; un représentant pour l'ensemble des villes de LaSalle, Saint-Pierre, Hampstead, Mont-Royal, Saint-Laurent et Montréal-Ouest; un représentant pour l'ensemble des villes de Montréal-Nord, Saint-Michel, Montréal-Est et Pointe-aux-Trembles.

Montréal (Québec). Comité nommé pour étudier le rapport de la Commission d'étude des problèmes métropolitains de Montréal

  • VM013-A
  • Collectivité
  • 1958

Le Comité nommé pour étudier le rapport de la Commission d'étude des problèmes métropolitains de Montréal est créé le 5 septembre 1958 par une résolution du Comité exécutif de la Ville de Montréal. Le Comité tient sa première séance le 16 septembre 1958. Il termine ses activités le 23 décembre 1958, alors qu'il dépose son rapport final au Conseil de ville.
Le mandat du Comité est de faire l'étude du rapport de la Commission d'étude des problèmes métropolitains de Montréal (Commission Paquette) et de présenter au Conseil de ville des recommandations et des suggestions sur la question de la création d'un organisme métropolitain. Le Comité est composé de 11 conseillers.

Société de développement de Montréal

  • P089-A
  • Collectivité
  • 1995-2006

En juin 1995, le Comité exécutif de la Ville de Montréal approuve la fusion des activités de la Société de développement industriel de Montréal (SODIM), de la Société immobilière du patrimoine architectural de Montréal (SIMPA) et de la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM) afin de constituer la Société de développement de Montréal. Toutefois, cette société n'obtient ses lettres patentes, dûment enregistrées, qu'en juillet 1998, en vertu de l'article 964ee de la Charte de la Ville de Montréal et selon la résolution CO96 02740 du 19 novembre 1996 du Conseil municipal. On assiste ainsi à la fusion de la Société immobilière du patrimoine architectural de Montréal et de la Société de développement industriel de Montréal. La Société est fusionnée à la Société d'habitation et de développement de Montréal en décembre 2006.

Le mandat de la Société de développement de Montréal est de contribuer au développement économique et social de la Ville de Montréal par la mise en valeur d'actifs immobiliers de nature résidentielle, commerciale et culturelle sur le territoire de la ville. La société est dirigée par un conseil d'administration composé de onze (11) personnes; dix (10) membres de ce conseil, dont deux sont des élus municipaux, sont nommés par le Comité exécutif de la Ville et un membre est nommé par ce dernier sur recommandation du ministre de la Culture et des Communications.

Fauteux, Aegidius

  • BM001-A
  • Personne
  • 1876-1941

Aegidius Fauteux est né le 27 septembre 1876 à Sainte-Cunégonde (Montréal). Il est le fils de Hercule Fauteux, menuisier, et d'Exilda Dagenais ainsi que le frère d'Éthérius Fauteux, traducteur à la Chambre des communes. Il fait ses études classiques au Collège de Montréal et ses études théologiques au Grand séminaire de Montréal. Il poursuit des études en droit à la Faculté de droit de l'Université Laval de Montréal. Il est admis au Barreau en juillet 1903, mais il ne plaida jamais. Il épouse Antonia Chevrier en 1911 et ils ont une fille adoptive. Il meurt le 22 avril 1941 à Montréal.

Aegidius Fauteux est journaliste, bibliothécaire et historien. Encore étudiant, il est lauréat du concours de littérature française à l'Université Laval de Montréal en 1900, 1901 et 1902. En 1902, il fonde le journal Le Rappel, organe de la jeunesse du parti conservateur qu'il continue d'éditer jusqu'en 1904. En 1905, il devient correspondant parlementaire du journal La Patrie à Québec. De 1909 à 1912, il est rédacteur en chef au journal La Presse. En 1912, il accepte le poste de bibliothécaire à la Bibliothèque Saint-Sulpice. Parallèlement à ses fonctions de journaliste et de bibliothécaire, Fauteux effectue plusieurs recherches historiques sur divers sujets. Il est l'auteur de nombreux ouvrages et articles sur différents aspects de l'histoire canadienne dont les Patriotes de 1837-1838, les bibliothèques canadiennes, les débuts de l'imprimerie au Canada ainsi que sur des familles et des personnages canadiens. Il obtient le ruban violet d'officier de l'Académie française en 1930 et reçoit la médaille Lorne Pierce pour l'histoire. À la fermeture de la Bibliothèque Saint-Sulpice en 1931, ses services sont retenus à la Bibliothèque municipale de Montréal. En 1936, l'Université de Montréal lui décerne un doctorat honoraire ès lettres. Il est co-fondateur et directeur de l'École de bibliothéconomie de l'Université de Montréal en 1937. La même année, il reçoit la médaille Tyrrell de la Société royale du Canada. En 1941, la Société historique de Montréal lui décerne la médaille de la Société pour le meilleur ouvrage historique de l'année. Aegidius Fauteux est membre fondateur de la Société des Dix, il est membre de la Société historique de Montréal, de la Société royale du Canada, de la Société numismatique et d'archéologie, de l'association philanthropique La Rosse qui détèle et de la Commission des sites et monuments historiques du Canada.

Montréal (Québec). Comité paritaire des fonctionnaires municipaux

  • P092-A
  • Collectivité
  • 1944-1949

Le Comité paritaire des fonctionnaires municipaux est créé le 6 juillet 1944 au moment de la signature de la convention collective intervenue entre la Ville de Montréal et le Syndicat catholique national des fonctionnaires municipaux de Montréal, tel que prévu à l'article XXII de la même convention collective. Le Comité tient sa première réunion le 18 octobre 1944.
Le mandat du Comité est de voir à l'observance des dispositions de la convention collective, d'interpréter les clauses litigieuses, de recevoir les recommandations du comité des griefs et d'étudier l'échelle de traitement pour toute nouvelle fonction. Le Comité est composé de 6 membres dont la moitié est choisie par le Comité exécutif et l'autre moitié par le Syndicat.

Montréal (Québec). Comité « Votre auteur préféré ».

  • BM015-A
  • Collectivité

Le Comité « Votre auteur préféré » est créé en septembre 1945 à l'initiative de Léo-Paul Desrosiers, conservateur de la Bibliothèque municipale de Montréal, et avec l'appui financier du Comité exécutif de la Ville de Montréal. La première conférence est donnée par Germaine Guèvremont le 29 octobre 1945. Chaque année, dix conférences sont prononcées par des romanciers, des poètes, des historiens ou des critiques littéraires dont une par un auteur canadien-anglais. La dernière conférence organisée par le Comité se tient le 21 avril 1954.

Le mandat du comité est de favoriser des rencontres entre les écrivains canadiens (québécois) et leurs lecteurs par l'organisation de conférences publiques à la Bibliothèque municipale de Montréal. Le comité est composé de trois membres et d'un président d'honneur.

Gagnon, Philéas

  • BM007-A
  • Personne
  • 1854-1915

Philéas Gagnon est né le 6 mai 1854 à Québec. Il est le fils de Charles Gagnon, menuisier puis commerçant, et de Hortense Caron. Il étudie chez les instituteurs Charles Dion et Honoré Rousseau à Québec, puis à l'académie commerciale Saint-Jean-Baptiste de Charles-Joseph-Lévesque Lafrance. Il épouse Annie M. Smith le 29 janvier 1883 et ils ont dix enfants. Il meurt le 25 mars 1915 à Québec.

Philéas Gagnon est tailleur, bibliophile, homme politique, auteur et fonctionnaire. En 1869, il devient apprenti tailleur et s'établit à son propre compte en 1874. C'est à cette époque qu'il commence à s'intéresser aux livres rares. Il réussit à se bâtir une collection qui est reconnue comme la meilleure et la plus complète au Canada. Sa collection, qui va du début de la colonisation jusqu'à la fin du 19e siècle, comprend livres, brochures, journaux, revues, estampes, gravures, portraits, manuscrits, soit publiés ou relatifs au Canada. Gagnon s'implique également en politique municipale; il représente le quartier Jacques-Cartier de Québec de 1882 à 1896. Il collabore assez régulièrement à plusieurs revues à caractère historique, en particulier au Bulletin des recherches historiques, où, quand il ne signe pas lui-même un article, il est constamment cité comme source ou référence. Il participe vers 1888-1890 à la rédaction de l'hebdomadaire québécois l'Union libérale, en qualité de responsable d'une chronique pour laquelle il utilise le pseudonyme de Bibelot. En 1895, il publie « Essai de bibliographie canadienne ». Gagnon est nommé au poste de conservateur des Archives judiciaires du district de Québec le 18 février 1898. Le 25 février 1909, il est nommé au poste de protonotaire adjoint de la Cour supérieure pour le district de Québec. Il publie en 1909, Québec il y a cent ans. Philéas Gagnon est membre de la Société littéraire et historique de Québec où il remplit notamment la charge de conservateur du musée, de la Commission de géologie, de la Société de géographie de Québec, de la Société de numismatique et d'archéologie et de la Société royale du Canada.

Sources : Olivier, Daniel. « Gagnon, Philéas ». Dictionnaire biographique du Canada, tome XIV. Sainte-Foy (Québec): Presses de l'Université Laval, 1998. p. 422-423.
Baboyant, Marie. « Philéas Gagnon et la « Collection Gagnon » de la Bibliothèque de la ville de Montréal » dans Livre, bibliothèque et culture québécoise. Montréal: ASTED, 1977. p. 311-336.

Corporation des célébrations du 350e anniversaire de Montréal

  • P071-A
  • Collectivité
  • 1988-1993

La Corporation des célébrations du 350e anniversaire de Montréal (1642-1992) est créée sous le nom de Corporation Montréal les fêtes de 1992 le 9 mai 1988 en vertu de lettres patentes enregistrées auprès du Gouvernement du Québec. Elle est issue d'une décision du Comité exécutif de la Ville de Montréal qui accepte le principe de la création d'une corporation privée sans but lucratif responsable des fêtes du 350e anniversaire de Montréal. En novembre 1989, en vertu de lettres patentes supplémentaires, cette société change de nom pour devenir la Corporation des célébrations du 350e anniversaire de Montréal (1642-1992). Elle cesse ses activités en mars 1993 avec le dépôt de ses états financiers.
Le mandat de la Corporation des célébrations du 350e anniversaire de Montréal est de promouvoir, de coordonner et de gérer les célébrations du 350e anniversaire de Montréal. La Corporation se compose de quatre centres décisionnels: assemblée générale, conseil d'administration, comité exécutif et comité de direction. Elle est aussi constituée de plusieurs comités conseillant le conseil d'administration. Elle comprend également cinq directions: direction des relations internationales et institutionnelles, direction générale de l'administration, direction générale des communications, direction générale de la programmation et direction générale du financement privé.

Régie intermunicipale de gestion des déchets sur l'île de Montréal

  • P108-A
  • Collectivité
  • 1984-2001

La Régie inter-municipale de gestion des déchets sur l'île de Montréal (RIGDIM) est constituée par une entente inter-municipale conclue le 3 septembre1984 selon la Loi sur les cités et villes et approuvée par un décret du ministère des Affaires municipales le 9 mai 1985. La RIGDIM a pour mandat de pourvoir à la conception, l'implantation, le financement, l'exploitation et le développement d'un système de gestion des déchets desservant les municipalités adhérant à l'entente inter-municipale. La Régie cesse ses activités et est dissoute le 31 décembre 2001 selon l'article 203 de la charte de la Ville de Montréal. La nouvelle Ville de Montréal succède aux droits, obligations et charges de la RIGDIM.

Régie intermunicipale de gestion des déchets sur l'île de Montréal

  • P108-A
  • Collectivité
  • 1984-2001

La Régie intermunicipale de gestion des déchets sur l'île de Montréal (RIGDIM) est constituée par une entente intermunicipale conclue le 3 septembre1984 selon la Loi sur les cités et villes et approuvée par un décret du ministère des Affaires municipales le 9 mai 1985. La RIGDIM a pour mandat de pourvoir à la conception, l'implantation, le financement, l'exploitation et le développement d'un système de gestion des déchets desservant les municipalités adhérant à l'entente intermunicipale. La Régie cesse ses activités et est dissoute le 31 décembre 2001 selon l'article 203 de la charte de la Ville de Montréal. La nouvelle Ville de Montréal succède aux droits, obligations et charges de la RIGDIM.

Association des chefs de services d'incendie du Montréal métropolitain

  • P114-A
  • Collectivité
  • 1966-2003

L’association est constituée en corporation en vertu de lettres patentes émises par le gouvernement du Québec en décembre 1977. Avant sa constitution, l'Association est connue sous les noms de Association of Chiefs and Police and Fire of Quebec (1966), de West Island Police and Fire Chiefs Group ou Groupement des Chefs de Police et de Pompiers de l'Ouest de la Métropole (1967), Groupement des chefs de pompiers des banlieues de Montréal (1974). De 1977 à 1992 elle porte le nom d'Association des directeurs de service d'incendie des banlieues de Montréal. Ce sont les lettres patentes supplémentaires du 5 mai 1992 qui lui conféreront son nom définitif. L’association est dissoute le 9 mai 2003 en vertu de l'article 28 de la Loi sur les compagnies .
Le mandat de l'Association est de regrouper tout le personnel cadre des organisations permanentes qui œuvrent dans le domaine de la prévention et de la lutte contre les incendies. Elle vise à promouvoir, développer et protéger les intérêts économiques, sociaux et professionnels de ses membres et, de façon générale, à les représenter auprès des autorités municipales ou gouvernementales. Dans ce but, elle organise des réunions, des conférences et des séminaires pour promouvoir les moyens de lutte contre l'incendie.

Véronneau (famille)

  • BM032-A
  • Famille
  • 1865-1889

La famille Véronneau possède une ferme à Saint-Zotique dans le comté de Soulanges. La mère, Madame Denis Véronneau, est veuve et a quatre enfants. Elle est toujours en vie en 1889.

Son fils aîné, Joseph Véronneau, est né le 9 juin 1850 à Saint-Zotique. Il étudie au Collège de Montréal à partir de 1865. Il décide de prendre l'état ecclésiastique en mai 1871. Il entre au Grand séminaire de Montréal en 1872. Il étudie au Collège de Varennes dans le comté de Verchères de l'automne 1874 à l'été 1876. Le 8 septembre 1876, il est ordonné prêtre. Il part alors pour Baie Saint-Georges (Terre-Neuve) en tant que prêtre missionnaire. Il y demeure jusqu'à la fin de l'été 1882 où, très malade, il est hospitalisé à l'Hôtel-Dieu de Montréal. À la fin de l'année 1883, il est de retour à Saint-Zotique en convalescence. Il meurt le 15 août 1884 à Saint-Zotique.

Son second fils, Édouard Véronneau, est né à Saint-Zotique entre 1850 et 1857. Il s'occupe de la ferme familiale et fait des billots pour le moulin à scie. En avril 1873, il quitte Saint-Zotique pour Carson City au Nevada afin de travailler dans des mines d'or. Il revient à Saint-Zotique en 1879 où il reprend son travail sur la ferme. Il épouse Aurélie Poitras en novembre 1880. En 1889, il déménage à Saint-Henri (Montréal).

Sa fille, Odile Véronneau, est née à Saint-Zotique entre 1850 et 1867. Elle épouse Adolphe Leblanc en janvier 1875. Ils ont trois enfants. Elle est toujours en vie en 1889.

Son troisième fils, Johnny Véronneau, est né en 1857 à Saint-Zotique. En 1876, il travaille sur la ferme familiale et y bâtit une boucherie. Il part pour Baie Saint-Georges à Terre-Neuve en juin 1879 pour aller rejoindre son frère Joseph. Jusqu'en 1883, il est pêcheur à Baie Saint-Georges. Au début des années 1880, il se marie (sa femme se prénomme Laurence). Au cours de l'année 1883, il revient s'installer à Saint-Zotique sur la ferme familiale. En 1889, il déménage à Saint-Henri (Montréal).

Montréal (Québec). Comité organisateur de la rencontre internationale des villes d'hiver 1992

  • P024-A
  • Collectivité
  • 1989-1993

Le Comité organisateur de la rencontre internationale des villes d'hiver 1992 est créé en août 1989, en vertu de lettres patentes enregistrées auprès du Gouvernement du Québec, et selon une résolution du Comité exécutif de la Ville de Montréal du 14 juin 1989. Le Comité organisateur de la rencontre internationale des villes d'hiver 1992 cesse ses activités en juin 1993.

Le mandat de cette société sans but lucratif est de promouvoir, de coordonner et d'administrer la tenue à Montréal de la Conférence internationale des maires des villes nordiques et d'une exposition internationale sur les technologies en relation avec l'hiver; toutes deux devant avoir lieu en 1992. Son mandat vise également à promouvoir l'amélioration de la qualité de vie en milieu nordique ainsi que l'attrait économique et touristique de la Ville de Montréal en tant que ville d'hiver internationale. Son conseil d'administration se compose de 19 personnes.

Montréal (Québec). Comité organisateur de la rencontre internationale des villes d'hiver 1992

  • P024-A
  • Collectivité
  • 1989-1993

Le Comité organisateur de la rencontre internationale des villes d'hiver 1992 est créé en août 1989, en vertu de lettres patentes enregistrées auprès du Gouvernement du Québec, et selon une résolution du Comité exécutif de la Ville de Montréal du 14 juin 1989. Le Comité organisateur de la rencontre internationale des villes d'hiver 1992 cesse ses activités en juin 1993.

Le mandat de cette société sans but lucratif est de promouvoir, de coordonner et d'administrer la tenue à Montréal de la Conférence internationale des maires des villes nordiques et d'une exposition internationale sur les technologies en relation avec l'hiver; toutes deux devant avoir lieu en 1992. Son mandat vise également à promouvoir l'amélioration de la qualité de vie en milieu nordique ainsi que l'attrait économique et touristique de la Ville de Montréal en tant que ville d'hiver internationale. Son conseil d'administration se compose de 19 personnes.

Montréal (Québec). Comité organisateur de la IVe biennale internationale des arts de la rue

  • P038-A
  • Collectivité
  • 1983-1988

Le Comité organisateur de la IVe biennale internationale des arts de la rue - Montréal 1985 est créé, en vertu de lettres patentes enregistrées auprès du Gouvernement du Québec, le 23 mars 1983. Cette société paramunicipale est dissoute officiellement le 8 mars 1988.

Le mandat de ce comité est de concevoir, de susciter, de favoriser et de réaliser tout projet, manifestation et événement visant à transformer l'espace urbain dans le but de faciliter la communication entre les habitants de Montréal, ainsi que d'encourager la préservation et l'embellissement de l'environnement afin d'améliorer la qualité de vie des Montréalais. Le conseil d'administration se compose de quatorze personnes.

Notre Dame de Grâce Library for Boys and Girls

  • P061-A
  • Collectivité
  • 1943-1993

La Notre Dame de Grâce Library for Boys and Girls est fondée en 1943, par une décision du Notre Dame de Grâce Community Council, et inaugurée le 18 novembre 1943. La bibliothèque est couramment connue sous le nom de siège social ou de Centrale de la bibliothèque pour enfants de Notre-Dame-de-Grâce. Elle déménage, en 1964, dans un nouvel espace attaché à la bâtisse du Centre communautaire de Notre-Dame-de-Grâce (aussi appelé centre récréatif, salle communautaire, Community Centre ou le Notre Dame de Grâce Community Hall). La bibliothèque compte 3 succursales. Il y a d'abord la Harvard Branch, créée en 1948, et devient la Centennial Branch en 1967. Il y a ensuite la succursale de Benny Farm créée temporairement, en 1950, jusqu'à l'ouverture de la Snowdon Branch en 1956. Enfin, la Rosedale Branch, ouverte probablement au début des années 1960, et devient la Western Branch en 1977. Le siège social ferme son service de prêts le 3 octobre 1984, mais continue d'administrer les succursales et de coordonner leurs activités jusqu'au moment de la fermeture définitive de la Notre Dame de Grâce Library for Boys and Girls, le 31 décembre 1991. Toutefois, la Centennial Branch demeure ouverte grâce à une entente confiant son administration à la Montreal Children's Library, à partir du 1 janvier 1992. La dernière réunion du Conseil d'administration a lieu le 26 juillet 1993.

Le mandat de la bibliothèque est de fournir aux enfants et aux adolescents du quartier des équipements et installations adaptées, accessibles et favorables à la lecture. Le rôle du Conseil d'administration est de s'assurer que les jeunes reçoivent les services, gratuits et bilingues, d'un personnel compétent, qu'ils bénéficient d'une variété de livres et d'ouvrages de référence de qualité, soigneusement choisis et en quantité suffisante. Par ailleurs, il a non seulement la responsabilité de veiller à l'établissement de succursales de la Bibliothèque pour enfants de Notre-Dame-de-Grâce, mais il doit également s'assurer que celles-ci soient réparties, à l'intérieur du quartier, dans les zones où la concentration d'enfants est la plus grande.

Municipalité de la ville de Saint-Louis

  • P028-A
  • Collectivité
  • 1878-1909

La ville de Saint-Louis est érigée en municipalité le 9 mars 1878 par l'Acte pour incorporer la municipalité du village de Saint-Louis du Mile End (Statuts de la province de Québec, 1878, 41 Victoria, chap.29), lequel soustrait une portion de territoire au village de la Côte Saint-Louis pour créer la nouvelle municipalité. Le 21 décembre 1895, le village obtient son statut de ville (Statuts de la province de Québec, 1895, 59 Victoria, chap.55). Le 29 mai 1909, le gouvernement de la province sanctionne la Loi amendant la charte de la ville de Saint-Louis (Statuts de la province de Québec, 1909, 9 Édouard VII, chap.88) prévoyant l'annexion de la ville de Saint-Louis à Montréal à partir du 31 décembre 1909. La ville de Saint-Louis est borné au sud-ouest par la municipalité du village d'Outremont ; au nord-ouest, par la municipalité de Saint-Laurent; au sud-est par la municipalité du village de Saint-Jean-Baptiste; et au nord-est par la municipalité du village de la côte Saint-Louis. Le mandat de la ville est de gérer sont territoire.

Montréal (Québec). Service de santé.

  • VM171-A
  • Collectivité
  • 1918-1972

Le Service de santé (VM171) est créé le 4 juin 1918 suite à l'adoption du règlement 658. Il est le fruit de la fusion des Services d'hygiène et de statistiques, de l'assistance municipale, des parcs et traverses et de celui des bains publics et vespasiennes. Le Service de santé cesse ses activités le 1er mai 1972, suite à l'adoption, le 21 avril 1972, du règlement 4411 qui fusionne le Service de santé et le Service du Bien-être social pour former le Service des affaires sociales.

Le mandat du Service de santé (VM171) est de planifier, coordonner et exécuter les politiques de la Ville dans le domaine de la santé, de la salubrité et de l'hygiène publique, y compris la tenue de statistiques à ces égards. Il coordonne notamment des campagnes de sensibilisation en matière d'hygiène et de santé publique, par exemple, celle de la promotion des bienfaits de la vaccination auprès de la population montréalaise ou encore les nombreuses visites à domicile et dans les écoles de la ville effectuées par des infirmières œuvrant pour le Service. Celui-ci publie également de nombreux rapports sur divers aspects de la santé à Montréal et assure la salubrité dans les parcs et terrains de jeux de la municipalité.

À sa création en 1918, selon le premier rapport annuel, le Service de santé comprend huit divisions soit : la division des maladies contagieuses, de l'hygiène de l'enfance, de la salubrité, de l'inspection des aliments, de l'assistance municipale, du contrôle médical, des récréations publiques et des laboratoires et, enfin, celle des statistiques. Cette structure évolue selon les époques en fonction des besoins en termes de santé publique; en 1948, par exemple, le Service crée notamment, deux nouvelles divisions à savoir celle de la tuberculose et celle dédiée la lutte contre les maladies vénériennes.

Pour des fins de compréhension de l'histoire administrative du Service de santé, il est important de rappeler que plusieurs instances municipales l'ont précédé dans la gestion de la santé publique à la Ville de Montréal. À partir du 14 septembre 1840, en vertu d'une résolution adoptée par le Conseil de Ville, c'est le Comité de police et de santé (VM43) - aussi appelée Commission de police - qui est chargé de ce mandat. Puis, le 3 mars 1852, on scinde cette commission en deux comités distincts; le premier, le Comité de police, reprend les activités liées au maintien de l'ordre public et, le second, le Comité de santé (VM45) se charge dès lors de la gestion de la santé sur le territoire de la métropole. Ce Comité de santé est aussi connu sous l'appellation de Bureau de santé et œuvre jusqu'au 16 février 1900, date où il est intégré à la Commission d'hygiène et de statistiques (VM21), nouvellement créée. Jusqu'en 1918, ce comité a changé quelques fois de noms, s'appelant Bureau de santé, Commission d'hygiène, Comité ou Conseil d'hygiène ou Bureau municipal d'hygiène et de statistiques, suite à des résolutions du Conseil de ville, par les membres du comité ou même par l'usage courant, mais il n'y a pas eu de changements règlementaires.

Parmi les actions du Comité de santé (VM45) créé en 1852 - et bien qu'il soit souvent désigné lui-même sous l'appellation officieuse mais inexacte de "Bureau de santé" - il y a la recommandation de créer un bureau de santé indépendant à Montréal. Celui-ci est créé officiellement le 15 mars 1870 suite à l'adoption du règlement municipal 37. Pour ajouter à la confusion, le règlement 105, adopté le 21 décembre 1876, vient abolir ce premier Bureau de santé et le remplacer par une autre instance aux fonctions similaires et elle aussi appelée Bureau de santé, mais parfois également Commission d'hygiène. Ce second Bureau de santé est lui aussi dissout en 1900, en même temps que le Comité de santé (VM45) qui en avait recommandé la création.

Montréal (Québec). Service des travaux publics.

  • VM004-A
  • Collectivité
  • 1918-

Le Service des travaux publics est créé en 1918, en vertu du règlement 657 adopté le 4 juin par la Commission administrative de la Cité de Montréal. Ce service est issu de la fusion des services de la voirie, de l'aqueduc, des égouts, des immeubles municipaux, des parcs et des traverses, de l'incinération, de l'inspection des bâtiments et des automobiles de la Cité. Le 23 mars 1998, le service change de nom pour le Service des travaux publics et de l'environnement. Dès 1840, la Ville voit à l'entretien du domaine public, des égouts communs et de tous les autres travaux ou endroits publics, que le Conseil a le droit de contrôler et surveiller (règlement 14).
Le mandat actuel du Service des travaux publics est« d'exécuter et de coordonner des travaux d'utilité publique, y compris l'entretien des infrastructures et le déneigement, et d'effectuer les travaux d'entretien, de réparation et de réaménagement des immeubles municipaux, d'assurer la gestion des eaux, de concevoir et de réaliser les projets d'infrastructure municipale, de fournir des services d'analyses de produits, d'essais de contrôle, d'études techniques et d'expertises diverses, d'assurer la gestion des occupations du domaine public et d'effectuer l'installation et l'entretien de la signalisation routière, y compris le marquage de la chaussée» (Règlement sur les services, no 96-240, 1996). Ce service regroupe la Direction, le Soutien à la gestion, la Division technique et la Coordination des travaux d'infrastructures routières.

Ligue des droits de la femme

  • BM14-A
  • Collectivité
  • 1922-1959

La Ligue des droits de la femme est créée en 1922 sous le nom de Comité provincial pour le suffrage féminin. Elle a comme organisme prédécesseur la Montreal Suffrage Association, fondée en 1913 et dissoute en 1919. En 1927, une scission s'opère au Comité. Idola Saint-Jean crée l'Alliance canadienne pour le vote des femmes tandis que le Comité devient la Ligue des droits de la femme en 1929. Après l'obtention du droit de vote en 1940, la Ligue diminue ses activités pour les cesser en 1959.

Le mandat de la Ligue des droits de la femme est principalement d'obtenir le suffrage féminin aux élections provinciales québécoises. La Ligue a aussi pour objectifs l'amélioration de la condition féminine au Québec dans différents domaines tels que le travail, l'éducation et la santé. À sa création, l'organisme est présidé conjointement par Madame Walter Lyman et Marie Gérin-Lajoie. Thérèse Casgrain assume la présidence de la Ligue de 1928 à 1942.

Des Marais, Pierre

  • P118-A
  • Personne
  • 1910-1986

Pierre Des Marais est né le 5 novembre 1910 à Montréal. Il est le fils de Charles Des Marais et de Rose-Anna Mayer, ainsi que le frère du conseiller municipal André Des Marais. Il débute son cours classique au Collège de Terrebonne, pour poursuivre sa scolarité au collège Saint-Laurent et ensuite à Sainte-Marie. Plus tard, durant une année, il étudie l'imprimerie et les arts graphiques à Chicago. Il épouse Rolande Varin le 24 juin 1933, avec qui il a cinq enfants : Pierre, Louise, Marcel, Élaine et Jacques. Il décède à Montréal le 21 janvier 1986.

Pierre Des Marais est maître-imprimeur de formation, il fonde son atelier d'imprimerie en 1929 à Montréal. En 1940, il est élu conseiller municipal pour une première fois, et fut réélu successivement en 1942, 1944, 1947, 1954, et 1957. En 1944 et 1947, il est nommé chef du conseil municipal. De 1954 à 1957, il occupe le siège de président du comité exécutif. En 1950, il participe à la fondation du Comité de moralité publique qui demande et obtient l'enquête sur la moralité (Commission Caron). En 1951, il participe à la fondation de la Ligue d'action civique et en est le président. De 1954 à 1958, il est président de la Commission métropolitaine de Montréal. Il est membre du comité exécutif de 1957 à 1960. Pierre Des Marais est aussi président de la Commission des parcs et terrains de jeux en 1941, membre du Comité d'habitation en 1948, membre du Comité d'urbanisme en 1948, président de la Commission de l'Ambulance, président de la Commission des bibliothèques, ainsi que président de la Commission des Quinze chargée d'étudier le refinancement de la dette.

Parallèlement à sa vie politique et professionnelle, Pierre Des Marais est président de la Chambre de commerce des jeunes du district de Montréal, président du Comité des visites industrielles de 1944 à 1945, ainsi que membre de la Chambre de commerce aînée. Il est aussi président de la section Duvernay de la Société Saint-Jean-Baptiste, directeur de l'Est Central Commercial, trésorier de la Ligue des propriétaires de Montréal en 1948, membre du Montreal Club of Printing House, membre de la Chambre de commerce belge, membre de l'Association des licenciés de l'École des Hautes Études Commerciales, membre du Club Saint-Denis, membre des Chevaliers de Colomb, ainsi que président honoraire de l'Amicale du cercle Émard de la paroisse Saint-Jean-Baptiste.

Montréal (Québec). Commission des parcs et traverses.

  • VM044-A
  • Collectivité
  • 1872-1909

En 1872, le Conseil de ville crée le Special Committee on the Park. Celui-ci s'occupe des expropriations de terrains sur le mont Royal qui serviront à créer un parc public. Ce comité cesse ses activités en 1875. Le 9 mars 1875, la Commission des parcs et traverses est créée sous le nom de Special Committee on Parks and Ferries par une résolution du Conseil de ville. Le Special Committee on Parks and Ferries tient sa première séance le 12 mars 1875. Il est composé de membres issus du Conseil de ville.
En 1881, le Special Committee on Parks and Ferries change de nom pour devenir Committee on Parks and Ferries. En 1896, l'appellation française Comité des parcs et traverses apparaît.
En 1890, le Conseil de ville retire au Committee on Parks and Ferries l'administration du parc Mont-Royal et crée le Comité du parc Mont-Royal. En 1898, le Conseil de ville abolit le Comité du parc Mont-Royal. L'administration du parc retourne alors au Committee on Parks and Ferries ou Comité des parcs et traverses. L'appellation Commission des parcs et traverses est adoptée en 1900.
En 1909, l'adoption de la loi amendant la charte de la cité de Montréal (9 Édouard VII, chap. 82) entraîne la disparition de la Commission des parcs et traverses et de l'ensemble des commissions échevinales. La Commission clôture ses activités le 13 janvier 1910. Le Bureau des commissaires, entériné par les électeurs montréalais lors d'un référendum tenu le 30 septembre 1909, prend la relève en 1910.
Le mandat de la Commission des parcs et traverses est d'administrer le parc Mont-Royal, le parc de l'Ile Ste-Hélène, les autres parcs, traverses et places publiques. Elle coordonne l'ensemble des activités des parcs et des places publiques par l'entremise des surintendants de parc qui exécutent ses décisions et font respecter les règlements.

Montréal (Québec). Comité formé en vue du développement du Domaine Saint-Sulpice.

  • VM136-A
  • Collectivité
  • 1959-1960

Le Comité formé en vue du développement du Domaine Saint-Sulpice est créé le 20 mars 1959 par une résolution du Comité exécutif de la Ville de Montréal. Le comité tire son origine d'une recommandation faite par l'urbaniste-conseil Charles-Édouard Campeau, dans son rapport au Comité exécutif le 25 février 1959 relativement au développement du domaine Saint-Sulpice. Le Comité tient sa première séance le 3 avril 1959. Le Comité est aboli le 16 novembre 1960 par une résolution du Comité exécutif.
Le mandat du Comité est d'examiner les différentes solutions de développement de l'habitation coopérative ou à loyer modique sur les terrains du domaine Saint-Sulpice. Le Comité est composé de 5 membres: le maire, 2 conseillers, le directeur du Service d'urbanisme et le directeur du Service des travaux publics.

Montréal (Québec). Commission de l'aqueduc.

  • VM047-A
  • Collectivité
  • 1846-1910

La Commission de l'aqueduc est créée le 29 avril 1846 par une résolution du Conseil. La création des commissions échevinales est rendue possible en 1840, par l'article XL de la charte de la Cité de Montréal (Ordonnances provinciales du Bas-Canada, 1839-1840, 4 Victoria, chap. 36), lequel prévoit que le Conseil puisse se décharger de certains devoirs sur une instance créée par lui et soumise à son autorité. Le 29 mai 1909, la province de Québec sanctionne la Loi amendant la charte de la cité de Montréal dans le but de réduire le nombre des échevins et de créer un Bureau de commissaires (Status de la province de Québec, 1909, 9 Édouard VII, chap. 82). La modification au fonctionnement administratif résultant de la création du Bureau des commissaires marque la fin de l'existence des commissions échevinales. La Commission de l'aqueduc clôture ses activités le 19 janvier 1910. L'aqueduc de Montréal est géré par Hayes & Co. jusqu'à ce que la cité l'achète le 29 avril 1845. Le mandat de la Commission de l'aqueduc est d'administrer, de maintenir et d'améliorer l'ensemble du réseau d'aqueduc de la Cité de Montréal. Par l'entremise du surintendant, la Commission coordonne l'entretien et l'examen réguliers des installations, s'assure de la qualité de l'eau fournie par le réseau et applique les mesures nécessaires au respect des règlements concernant l'alimentation des contribuables en eau potable. La Commission de l'aqueduc est composée de membres issus du Conseil de ville.

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